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INSCRITO... A TOMAR VIENTO!!!!Tirada larga para Boston que es tres semanas después!!!!
You'll never run alone... Yo estoy inscrito desde Septiembre
Pues la organización acaba de mandar un mail advirtiendo de que el recorrido es planito, pero que los famosos túneles del Sena al final de la carrera y sus más aún famosas cuestas se hacen sentir:Sorry, es en francés (en rojo, la advertencia...je,je)....Le 6 avril prochain, vous serez nombreux à courir pour la première fois sur le bitume de la capitale. 42,195km entre l’avenue des Champs-Elysées et l’avenue Foch : au-delà des sites emblématiques dont vous croiserez la route, il est prudent de savoir où vous mettrez les pieds. Détails. > Savoir ménager sa monture avant le château de VincennesLe parcours du Schneider Electric Marathon de Paris est globalement plat et roulant. Particulièrement dans sa partie initiale. Les cinq premiers kilomètres qui mènent à la place de la Bastille sont en faux plat descendant : attention de ne pas exagérer votre tempo. Il peut être intéressant d’évoluer en surrégime durant quelques hectomètres pour rattraper le groupe d’un meneur d’allure ou simplement un petit peloton. Se caler rapidement dans son allure de croisière – en s’aidant d’un chrono – doit cependant demeurer la règle.La portion du parcours qui mènent à l’esplanade du château de Vincennes se gère sans problème particulier. Important de rester en phase avec son plan de course même si les jambes sont légères. Attention de ne pas griller de ravitaillement : buvez quelques gorgées au moins tous les cinq kilomètres.> Faire le point à la mi-courseLa traversée du bois de Vincennes ne présente aucune difficulté – à part une légère bosse qui se grimpe au train sans avoir à ralentir la cadence. En approchant de la mi-course, vous retrouvez les chaussées parisiennes via la rue de Charenton et l’avenue Daumesnil. Logique et souhaitable que vous soyez (encore) parfaitement à l’aise. Ne cherchez pas à changer quoi que ce soit à la routine qui s’est établie lors des premiers kilomètres.Songez, si vous n’avez bu que de l’eau, à vous alimenter avec un tube d’effort. Aspirez-le en amont d’un ravitaillement afin de vous rincer la bouche. N’oubliez pas : à Paris, ce sont des petites bouteilles et non des gobelets qui vous sont proposées. Possible donc de les conserver quelques dizaines de mètres avec vous et de boire lentement. Veillez toutefois à jeter bouteilles et tubes de gel dans les nombreuses poubelles positionnées sur le parcours.> Anticiper le coup de barre du 30ème kilomètreVous sortez de sept kilomètres majestueux courus sur les quais de Seine au milieu d’un public nombreux. Attention aux sorties de tunnel : ces petites bosses peuvent faire grimper le rythme cardiaque et brûler les cuisses. Mieux vaut les aborder tranquillement et relancer de manière dynamique lorsque la chaussée redevient plate. Le passage devant la tour Eiffel est délicat car il annonce le début de la vraie bagarre. N’oubliez pas : un marathon débute réellement à partir du 30ème kilomètre. Après avoir contourné le stade de Roland-Garros, vous entrez dans le bois de Boulogne. Nouvelle petite bosse de rien du tout qui souvent ressemble à une vraie montagne. Pas de panique, vous entrez dans la dernière phase de votre effort.Rien de compliqué au niveau du parcours avant l’arrivée porte Dauphine. Plat, large, aéré : vous êtes dans le poumon de l’ouest parisien. Vérifiez que votre cardio reste stable – sans doute tout de même en accélération par rapport aux deux premières heures de course. Continuez à vous hydrater jusqu’au ravito du 40ème kilomètre. L’arrivée est là. Passez le tapis et fermez les yeux deux secondes : vous avez gagné !.